Nous sommes allés à la rencontre de Jill Gategno, styliste maintenant presque 4 ans elle nous parle de son parcours fulgurant. Avec son style bien à elle et sa personnalité très originale, Jill se confie à nous sur son histoire, ses valeurs, ainsi que l’industrie de la mode.
Dans une société où l’industrie de la mode fait débat, la styliste Jill Gategno mettent tout le monde d’accord. Tout en mettant en avant ces valeurs ainsi que son style, elle tente de s’inscrire comme une véritable antidote à tout ce qui ne va pas dans l’industrie de la mode.
Racontes-nous ton histoire ?
J’ai commencé à il y a un peu prés 4 avec des petits artistes indépendant en travaillant sur des tournages de clips, mais aussi pour des marques de modes. J’ai travaillé environ 1 ans pour une jeunes marques parisiennes créer par Stepahne Ashpool qui est un très bon ami à moi aujourd’hui, Pigalle Paris c’est une marque qui définit un peu la culture urbaine parisienne, et met en avant les cools kids, et c’est comme ça que j’ai commencé à me faire des contacts et comprendre que c’était un milieu qui me passionnait vraiment.
Avant de faire ma place dans le milieu ça été vraiment compliqué, car il y a presque que des hommes, quand je dis ça je parle des (réa de tournages, directeur de boite de production et les chef op etc…) donc il fallait vraiment que je me démarque et que je montre de quoi je suis capable afin qu’on puisse me rappeler pour tous les projets divers et multiples.
Avec le temps, et le fait d’être un peu plus apprécier par le publique et les artistes et surtout de voir que mon art plaît, c’est comme ça que j’ai la chance de pouvoir décrocher des jobs et avoir eu la chance de bosser avec des artistes renommées dans le monde de la musique et créer.
Est-ce que tu te retrouves dans le sujet mode et cinéma ?
Evidement que je me retrouve dans le sujet, et je trouve que les deux vont ensembles, meme si je n’est pas travailler sur des longs-métrage et pour des films de prestiges, mon travaille reflete quand meme ces deux aspect la, le fait de faire de la recherche pousser pour incarner l’univers d’un artistes tout en venant habiller sa musique et les yeux des spectateur je trouve qu’il y a un lien très forts et que c’est pour ça qu’a des moments, je ne suis pas une simples styliste mais une costumiéres.
Ayant fait des études en Fashion Design, et exploiter le modélisme dans tous les sens du termes, je sais comment magner les vetements, et me les approprier, il peut arriver que je transforme des piéces de secondes pour des clips, par ex pour le tournage du court- metrage de Laylow « Mr.Anderson », j’ai réalisés la robes de la sorcieres et je les accesoirise, ce qui n’étais pas un petit défis, mais ca à fait succés et j’ai eu de bons retour sur ce travaille qui ma pris des heurs, mais je suis fiere du rendu, c’est ce qui me rend plus heureuse quand je vois le résulta final à la caméras.
Comment procède-tu avant chaque tournage ?
Avant chaque tournage, je me renseigne sur l’univers de l’artiste, et ce qui pourrait matcher avec moi, je regarde en profondeur les moodboard, et de là, je monte une équipe composer 4/5 assistant qui vont m’épauler tout au long du projet et je vais faire du sourcing, et créer les looks à partir de la direction artiste du clip.
Peux-tu nous parler de ton projet le plus créatif ?
Je pense que c’est un projet qui à été réaliser il y a 1 ans environs, c’était le clip Angéle Damso, j’ai du habiller les 20 figurant sur le tournage plus Damso, bien évidement il y avait une styliste qui s’occupait d’Angele car c’était déjà un grand défis pour moi, on a eu la chance de tourner avec une grande boite de productions, le budget était assez minime, mais je me débrouille comme je peux, je vais chercher les piéces qui me conviennet dans mon endroit ça s’apelle la compagnie du costumes, c’est un grand hanger avec des piéces datant de l’epoque, il peut y avoir des piéces utiliser pour des grands films comme cléopatre astérix et obelix, comme des petits projets ou piéces de théatre c’est vraiment las-bas que je déniche les plus belles piéces pour les tournage.
Généralement, quand les réa me conatctent, je fais en sorte d’avoir les pièces les plus créa et vraiment créer un univers en cohérence avec la demande et le mood demandé, et c’est vrai que je pousse un maximum, afin de créer visuellement quelque chose de créatif et très artistiques.
À quelle occasion tu achèterais le magazine Clap’shion?
Je pense que nous avons quelque chose pour toutes les occasions. Mais je l’achèterais uniquement que si on parle de mon travail « ahah », mais aussi s’il représente bien votre génération et qu’il est à l’air du temps et en cohérence avec le monde actuel, sans rentrer dans quelque chose de commercial et publicitaire. Mais surtout, je l’acheterais pour retrouver le look de mon actrices préféré, ou analyser le style de catherine deneuve dans un de ses films de l’époque, c’est important de s’inspirer d’anciennes choses, pour les rapporter à notre époque.
